Terrasses de logements durables pour ‘De Schilden’

terrasses de logements étanches et esthéthiques avec Triflex
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De Schilden

Pour De Schilden, un projet résidentiel et commercial du promoteur anversois CIP nv/sa, le maître d’ouvrage a travaillé avec le consortium Rapp+Rapp - eld Falconhoven, lequel réunit le cabinet d’architectes d’Amsterdam Rapp+Rapp et le bureau d’études multidisciplinaire eld nv/sa. Pour l’étanchéité des terrasses des logements du premier étage, juste au-dessus du socle revêtu de pierre calcaire, une solution durable et esthétique a été mise au point conjointement avec Triflex.
Location
Anvers
Completion
juin 2016
Area
balcons et coursives
Authorised Contractor
Meekelenkamp Kunststof Techniek BV

Description du projet

Le bureau d’études anversois eld possède un large éventail de savoir-faire et d’expérience. Avec son profil caractérisé sur le marché comme fortement technique, eld réalise de nombreux projets en collaboration avec des architectes concepteurs. Il a ainsi collaboré, pour le projet ‘De Schilden’ avec le cabinet d’architectes d’Amsterdam RAPP+RAPP, dont l’architecte en chef, Christian Rapp, est devenu entretemps architecte de la Ville d’Anvers.

De Schilden

Pour De Schilden, un projet résidentiel et commercial du promoteur anversois CIP nv/sa, le maître d’ouvrage a travaillé avec le consortium Rapp+Rapp - eld Falconhoven, lequel réunit le cabinet d’architectes d’Amsterdam Rapp+Rapp et le bureau d’études multidisciplinaire eld nv/sa. La hauteur libre des appartements, qui est de 2,90 mètres, procure une sensation d’espace. Pour l’étanchéité des terrasses des logements du premier étage, juste au-dessus du socle revêtu de pierre calcaire, une solution durable et esthétique a été mise au point conjointement avec Triflex.

“Les terrasses couvertes sont largement dimensionnées. Elles remplissent la fonction de protection solaire et renforcent l’habitabilité de l’espace extérieur””

- architecte Bart Anthonissen, Managing Director de eld -

Hauteurs libres élevées

Le bâtiment De Schilden comporte cinq niveaux hors sol et deux niveaux en sous-sol, tous deux servant d’espaces de parking pour 276 places. Le rez-dechaussée comporte 13 locaux commerciaux avec une hauteur libre de 5,50 mètres (hauteur sur socle) et donc la possibilité de prévoir une mezzanine, et sur l’Oude Leeuwenrui se trouvent quelque huit bureaux. «Un des points importants dans le cahier des charges de CIP et du plan directeur BPA du site, était la hauteur brute entre niveaux de 3,30 mètres pour les étages supérieurs et la hauteur brute de 5,5 mètres pour le rez-de-chaussée.Ceci permet une incidence maximale de lumière naturelle, ainsi qu’une sensation d’espace et une qualité de vie optimale. Les terrasses couvertes sont, elles aussi, largement dimensionnées. Elles remplissent la fonction de protection solaire et renforcent l’habitabilité de l’espace extérieur», déclare Bart Anthonissen.

Matériaux durables

Le socle du bâtiment a été revêtu d’une pierre calcaire coquillère baptisée ‘Muschelkalk’. Cette dernière provient d’une carrière allemande et se caractérise par la présence d’inclusions remarquables, entre autres des coquillages et des alvéoles. En ce qui concerne le choix des matériaux de façade pour les étages, le cabinet d’architectes a opté pour de la brique engobée, en raison de sa longue durée de vie et du bel effet de vieillissement.«La pierre de façade (beige) s’intègre parfaitement à notre culture de construction. Il a été opté pour un mélange de deux couleurs d’enduit qui donne à la maçonnerie, avec l’application de l’engobe, une certaine vivacité », affirme l’architecte.

Terrasses de logement du premier

Le maître d’ouvrage et l’architecte ont opté pour des terrasses en béton architectonique. Étant donné que le socle occupe la totalité de l’empreinte au sol du bâtiment, les terrasses du premier étage de logements font partie du même volume fermé. Ceci impose une isolation et une étanchéification très soignées sous la couche de finition.

C’est pourquoi le cabinet d’architectes a défini une solution technique conjointement avec Triflex SPRL. « Nous avons des retours d’expérience positifs dans d’autres projets avec des solutions fiables, durables et étanches. Aussi nous cherchions une solution pour ces terrasses qui offre les mêmes qualités esthétiques que les terrasses des niveaux supérieurs », nous confie l’architecte. Grâce à la mise en oeuvre du système Triflex BIS, basé sur une couche de répartition de pression, il a
été possible de réaliser sur une faible épaisseur un système de terrasse étanche et sans joint.

"Ce système léger assure une finition durable de la construction", déclare Christophe Vandyck, responsable du dévéloppement commercial chez Triflex SPRL. "L’association avec le système Triflex BTS-P a résulté en une membrane étanche qui a été tirée jusque sous les fenêtres et les pierres de parement. À partir du second étage, les terrasses des appartements sont en béton architectonique. C’est pourquoi, dans la solution Triflex, l’on a opté pour une finition blanche, sans joint (aspect béton architectonique), mais d’autres nuances de couleur sont possibles."

"Aussi nous cherchions une solution pour ces terrasses qui offre les mêmes qualités esthétiques que les terrasses des niveaux supérieurs"

- architecte Bart Anthonissen, Managing Director de eld -
 

Une seule surface, une seule finition

"Les plus de cette solution combinée sont, entre autres, le fait que moins d’épaisseur soit nécessaire par rapport aux systèmes traditionnels, le fait que ce système soit moins sujet aux perforations, et enfin l’effet ‘une seule surface, une seule finition’ du béton architectonique" affirme Christophe Vandyck. "À l’origine, ce système a été développé pour le marché de la rénovation, mais il est de plus en plus appliqué dans les projets de construction neuve, parfois en combinaison avec des toitures végétalisées." Pour l’exécution des travaux, l’entreprise s’est associée avec l’un de ses applicateurs agréés, l’entreprise néerlandaise Meekelenkamp Kunststoftechniek
(MKT).

Plan directeur

De Schilden est un projet résidentiel et commercial du centre-ville d’Anvers. Son nom (De Schilden = Les écus) renvoie aux monnaies en bronze frappées du visage du noble florentin Falco De Lampagne, qui fit bâtir un cloître sur le site au 14e siècle, monnaies qui furent trouvées dans le cadre de fouilles archéologiques. Pour ce faire, la fosse de construction avait été étendue et consolidée par une paroi de pieux. "En tant que gagnant de l’appel d’offres ouvert lancé par l’Architecte du Gouvernement flamand de l’époque, Bob van Reeth, et organisé par le conseil municipal, RAPP+RAPP avait réalisé, préalablement à la mission d’architecture, un Plan directeur pour l’ensemble du site jouxtant la Belliardstraat et l’Oude Leeuwenrui. Le promoteur CIP a acquis les droits pour les deux projets partiels, et développe à présent le site en deux phases. Phase 1: un immeuble en C, baptisé De Schilden, et qui est depuis achevé. Enfin, quatre cours intérieures, vertes et fermées, structurent le site et la construction", déclare l’architecte Bart Anthonissen, directeur général d’eld.

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